OS VISIVEIS SINAIS DOS TEMPOS
A designação do terceiro sexo não tardará que chegue também a Portugal
que será mais uma lei que irá criar grande polémica.
Na índia o bilhete de identidade ou o passaporte de alguns cidadãos
indianos já pode constar para além de homem ou mulher, outra designação
da pessoa. Este país já permite oficialmente que os seus cidadãos tenham
inserto outro sexo além do masculino e feminino nos seus documentos de
identificação.
Consta-se que neste país há cerca de um milhão pessoas que passaram a
serdesignados por transexuais, eunucos e hermafroditas em lugar de
masculino ou feminino. Até há pouco tempo essas pessoas estavam
impedidas de exercerem o direito de voto ou de concorrerem às eleições.
Actualmente a lei indiana determinou que as pessoas consideradas do
terceiro sexo têm os mesmos direitos que o homem e a mulher.
A moral tradicional está-se a esvanecer com estas novas designações
para as pessoas e com os casamentos homossexuais de ambas as partes.
Estes agora vão aumentar a percentagem dos casamentos no mundo
ocidental que está em declínio!
Os homossesuais do mundo ocidentalizado aguardam com todo o anseio que
as leis dos seus países lhes permitam o casamento sem qualquer problema
e com todos os direitos que têm os casais normais. Por outro lado,
aqueles que deviam casar e constituir uma verdadeira família tradicional
não querem casar. Portanto os heterossexuais estão a fugir ao casamento,
isto é sem dúvida um autêntico paradoxo!
São os sinais dos novos tempos e das novas mentalidades.
terça-feira, 25 de maio de 2010
sábado, 1 de maio de 2010
Les Crues en 1910 et 2010
Cette année 2010, les pluies ont rappelé les crues d´autrefois en
France, cent ans sont passés et on voit presque la même chose un
hiver qui a tourmenté le peuple.
La Grande Crue de 1910 : bilan d'un hiver tourmenté
En 1910, Paris fait face à la plus grande crue de son histoire.
Les pluies, qui tout au long du mois de janvier s'intensifient,
culminent entre le 17 et le 20 janvier 1910 et affectent les
affluents de la Seine en amont de Paris.
Pourtant pour les scientifiques de la Belle Epoque, la Seine ne
présentait aucun danger. Bilan de ces prévisions : transports
immobilisés, caves et rez-de-chaussée inondés, rues affaissées,
électricité et gaz coupés, plus de 200 000 Parisiens directement
lésés et services de secours débordés. L’imprévoyance des
pouvoirs publics coûte cher à la ville.
. Ironie du sort, l'événement se produisit au moment où la
ville s'était engagée dans des chantiers colossaux, notamment
celui du métropolitain et des égouts municipaux. Quelques mois
avant la catastrophe, personne n'avait imaginé les habitants
des quartiers aisés de l'Ouest Parisien se rendre en barque au
pied de leurs immeubles pour pénétrer par la fenêtre dans leurs appartements…
La banlieue n'est pas épargnée non plus. Si la capitale n'a
qu'une seule victime à déplorer, il y a en revanche plusieurs
noyés en banlieue parisienne, et plus de 30 000 maisons sont
assaillies par les eaux de la Seine, tandis que 150 000
habitants voient leurs logements sérieusement sinistrés.
Le 18 février 1910, alors que l'eau disparait lentement des rues,
le gouvernement forme une Commission des inondations. Celle-ci
fera le bilan de la catastrophe qui a duré plus de 45 jours dans
la capitale (3, 80 m le 20 janvier, 8, 50 m le 28 janvier, 5,
18 m le 14 février, retour à la normale en mars). Elle lancera
surtout de grands projets de contrôle des flux en amont pour
éviter qu'elle se reproduise. Des travaux, dont la mise en œuvre
sera souvent retardée en raison de la Guerre 1914-1918, sont
lancés. De grands lacs sont nés de cette commission pour retenir
le débit du fleuve : le lac de Panetière sur l'Yonne (1949),
le lac de la forêt d'Orient (1966), le lac du Der-Chante coq
(1974) et ceux du Temple et d'Armance (1990).
Ces mesure font oublier progressivement le risque d'inondations,
pourtant régulières par le passé (1658, 1740, 1802). Mais, selon
les experts, comme Pascale Dugat, DE l'association La Seine en
partage, le risque n'est cependant pas totalement écarté. Le
nom même de la crue de 1910, baptisée "crue centennale" (la
crue de référence sur un siècle), implique qu'une autre puisse
survenir un siècle plus tard. Et elle ferait beaucoup plus de
dégâts qu'en 1910, la région étant beaucoup plus urbanisée,
peuplée et équipée Face aux prévisions pessimistes des
scientifiques, la Mairie de Paris prend aujourd'hui ses
précautions : un plan de prévention des risques d'inondation ,
valable pour l'ensemble du département de Paris, a enfin vu
le jour le 17 octobre 2006, après plusieurs tentatives.
Pour l'aile écologiste du Conseil de Paris, ce dernier n'est
pas suffisant. Il permet encore de densifier les constructions
de 20% dans les zones inondables, limitation qui va jusqu'à
être abolie dans les secteurs dits "stratégiques pour le
développement économique et social", pourtant situés dans des
zones qui dans ce temps lá étaient de constructibilitée limitée.
RRIORITE AUX MONUMENTS
De nombreux établissements ont cependant été mis sous haute
surveillance. C'est le cas du Louvre, de la galerie nationale du
Jeu de Paume, du musée de l'Orangerie, de l'hôtel de Sully, du
musée Notre-Dame de Paris, de l'Ecole Nationale des Beaux Arts,
du musée d'Orsay ou encore du musée du Quai Branly. On a également
pris soin de déplacer les réserves souterraines du musée d'Orsay
et du Louvre. Enfin certaines ouvertures du RER C ont été obturées
et des bateaux à fond plat patientent pour acheminer en cas de
nécessité les fonctionnaires indispensables au bon fonctionnement
de la ville. Sans oublier les barrages-réservoirs construits en
amont de Paris dans les années 70 et 80. Le tout pour parer à
l'inquiétante réalité selon laquelle si le scénario de 1910 se
reproduisait, seul un quart de l'eau ferait l'objet d'une
rétention… causant entre 4,5 et 12 milliards d'euros de dommages
économiques à la ville, soit 7 à 8 fois plus qu'en 1910.
Qu'on ne s'y trompe pas néanmoins: personne n'est tenu d'enfiler
demain une bouée de sauvetage. Le risque pour les personnes est
aisément contrôlable. Mais il serait insouciant de considérer
toute crue comme un scénario rocambolesque. Mieux vaut prévenir
que guérir… la crue de 1910, et les 8m62 d'eau atteints au niveau
du pont d'Austerlitz, auront servi de leçon.
France, cent ans sont passés et on voit presque la même chose un
hiver qui a tourmenté le peuple.
La Grande Crue de 1910 : bilan d'un hiver tourmenté
En 1910, Paris fait face à la plus grande crue de son histoire.
Les pluies, qui tout au long du mois de janvier s'intensifient,
culminent entre le 17 et le 20 janvier 1910 et affectent les
affluents de la Seine en amont de Paris.
Pourtant pour les scientifiques de la Belle Epoque, la Seine ne
présentait aucun danger. Bilan de ces prévisions : transports
immobilisés, caves et rez-de-chaussée inondés, rues affaissées,
électricité et gaz coupés, plus de 200 000 Parisiens directement
lésés et services de secours débordés. L’imprévoyance des
pouvoirs publics coûte cher à la ville.
. Ironie du sort, l'événement se produisit au moment où la
ville s'était engagée dans des chantiers colossaux, notamment
celui du métropolitain et des égouts municipaux. Quelques mois
avant la catastrophe, personne n'avait imaginé les habitants
des quartiers aisés de l'Ouest Parisien se rendre en barque au
pied de leurs immeubles pour pénétrer par la fenêtre dans leurs appartements…
La banlieue n'est pas épargnée non plus. Si la capitale n'a
qu'une seule victime à déplorer, il y a en revanche plusieurs
noyés en banlieue parisienne, et plus de 30 000 maisons sont
assaillies par les eaux de la Seine, tandis que 150 000
habitants voient leurs logements sérieusement sinistrés.
Le 18 février 1910, alors que l'eau disparait lentement des rues,
le gouvernement forme une Commission des inondations. Celle-ci
fera le bilan de la catastrophe qui a duré plus de 45 jours dans
la capitale (3, 80 m le 20 janvier, 8, 50 m le 28 janvier, 5,
18 m le 14 février, retour à la normale en mars). Elle lancera
surtout de grands projets de contrôle des flux en amont pour
éviter qu'elle se reproduise. Des travaux, dont la mise en œuvre
sera souvent retardée en raison de la Guerre 1914-1918, sont
lancés. De grands lacs sont nés de cette commission pour retenir
le débit du fleuve : le lac de Panetière sur l'Yonne (1949),
le lac de la forêt d'Orient (1966), le lac du Der-Chante coq
(1974) et ceux du Temple et d'Armance (1990).
Ces mesure font oublier progressivement le risque d'inondations,
pourtant régulières par le passé (1658, 1740, 1802). Mais, selon
les experts, comme Pascale Dugat, DE l'association La Seine en
partage, le risque n'est cependant pas totalement écarté. Le
nom même de la crue de 1910, baptisée "crue centennale" (la
crue de référence sur un siècle), implique qu'une autre puisse
survenir un siècle plus tard. Et elle ferait beaucoup plus de
dégâts qu'en 1910, la région étant beaucoup plus urbanisée,
peuplée et équipée Face aux prévisions pessimistes des
scientifiques, la Mairie de Paris prend aujourd'hui ses
précautions : un plan de prévention des risques d'inondation ,
valable pour l'ensemble du département de Paris, a enfin vu
le jour le 17 octobre 2006, après plusieurs tentatives.
Pour l'aile écologiste du Conseil de Paris, ce dernier n'est
pas suffisant. Il permet encore de densifier les constructions
de 20% dans les zones inondables, limitation qui va jusqu'à
être abolie dans les secteurs dits "stratégiques pour le
développement économique et social", pourtant situés dans des
zones qui dans ce temps lá étaient de constructibilitée limitée.
RRIORITE AUX MONUMENTS
De nombreux établissements ont cependant été mis sous haute
surveillance. C'est le cas du Louvre, de la galerie nationale du
Jeu de Paume, du musée de l'Orangerie, de l'hôtel de Sully, du
musée Notre-Dame de Paris, de l'Ecole Nationale des Beaux Arts,
du musée d'Orsay ou encore du musée du Quai Branly. On a également
pris soin de déplacer les réserves souterraines du musée d'Orsay
et du Louvre. Enfin certaines ouvertures du RER C ont été obturées
et des bateaux à fond plat patientent pour acheminer en cas de
nécessité les fonctionnaires indispensables au bon fonctionnement
de la ville. Sans oublier les barrages-réservoirs construits en
amont de Paris dans les années 70 et 80. Le tout pour parer à
l'inquiétante réalité selon laquelle si le scénario de 1910 se
reproduisait, seul un quart de l'eau ferait l'objet d'une
rétention… causant entre 4,5 et 12 milliards d'euros de dommages
économiques à la ville, soit 7 à 8 fois plus qu'en 1910.
Qu'on ne s'y trompe pas néanmoins: personne n'est tenu d'enfiler
demain une bouée de sauvetage. Le risque pour les personnes est
aisément contrôlable. Mais il serait insouciant de considérer
toute crue comme un scénario rocambolesque. Mieux vaut prévenir
que guérir… la crue de 1910, et les 8m62 d'eau atteints au niveau
du pont d'Austerlitz, auront servi de leçon.
Memórias da ex-RDA
Memórias da queda do “Muro da Vergonha,” que separou famílias e
que durou desde de Agosto de 1961 até 9 de Novembro de 1989. Foram
28 anos de Ditadura Comunista que molestou e sacrificou milhares de
cidadãos. Alguns deles, hoje, não esquecem a exígua sobrevivência
e a difícil fuga a esta “ditadura de ferro!” Mais de 3.200 pessoas
foram presas por querem abandonar o paraíso do inferno! E consta-se
que mais de 300 pessoas foram abatidas a tiro, quando tentavam
atravessar a fronteira para o Ocidente em busca da liberdade! Pelos
dois relatos abaixo mencionados podemos daí inferir a perseguição
e falta de liberdade deste país dito democrático!
A senhora Sigrid Paul deu à luz um filho quando começaram a erguer o
muro, como o seu Filho Torsten nasceu com graves complicações no
estômago teve que recorrer aos familiares da Alemanha Ocidental a
verdadeira República Democrática para ser tratado devidamente. Como
o amaldiçoado muro foi construído muito rápido naquela rua, já não
pode ir buscar o filho, apesar de ter feito muitas reclamações. Só
passados 5 anos é que pôde recuperar o filho, para este filho os
pais eram completamente estranhos!
Esta senhora tal como milhares de outras pessoas, agora com 75 anos
de idade vivem agarrados ao passado trágico, algumas delas das mais
desinibidas vão contando a sua própria história do regime que as
limitou em tudo e a todos.
A senhora Sigrid Paul é hoje a cicerone no centro de detenção. Ela
e o marido foram presos numa manhã quando iam para o seu trabalho,
meteram-nos num carro e seguiram directos à prisão, ninguém se pôde
interpor a estas acções da STASI (policia politica). Foram presos
por terem dado abrigado três estudantes que desejavam passar a
fronteira.
Outra Senhora chamada Erika disse que foi presa quando tinha 14
anos de idade por ter desenhado por brincadeira um laço no bigode
de Estaline numa Fotografia que viu colada num muro.
A StASI não perdoava a mais pequenina coisa que não estivesse de
acordo com este Duro Regime Político. Esta polícia política e
secreta tinha no seu efectivo 91.000 agentes nas ruas e 173.000
informadores ou bufos, à média de um elemento desta polícia por cada
60 habitantes! Tinha o controlo de tudo e de todos. Ninguém sabia
quem eram os polícias e quem eram os vigiados, muito pior que a
PIDE em Portugal! Os habitantes tinham medo uns dos outros. Por
isso,mantinham-se calados politicamente e trabalhar sem qualquer
poder reivindicativo. Os sindicatos tinham por missão controlar os
trabalhadores em todos os aspectos e para os intimar para irem às
manifestações de apoio ao governo, para depois fazerem
reportagens e fotomontagens ampliadas a fim mostrarem ao mundo
que os habitantes estavam satisfeitos com o regime!
A prisão política foi alcunhada de” Submarino “ em Hohenschonhausen,
pelos presos, era uma prisão debaixo da terra onde os prisioneiros
políticos submergiam sem nunca terem a noção do dia ou da noite,
como o mínimo de luz sem puderem contactar uns com os outros.
A prisão política Portuguesa de Peniche tinha débeis condições de
habitabilidade, mas tinha muito melhores condições que a prisão
Submarino da RDA onde os prisioneiros não tinham luz suficiente
nem livros para lerem.
Se Álvaro Cunhal tivesse sido preso politico do regime que ele
tanto defendeu, nunca se teria licenciado em direito nem talvez
conseguisse resistir tais barbaridades, como sucedeu a muitos dos
presos políticos da RDA (Republica Déspota Agressiva) Este é que
devia ter sido o nome oficial!
Consta-se também que 40% dos habitantes da ex-RDA não ficaram
satisfeitos por terem sido integrados na RFA. porque essa grande
percentagem era constituída pelos polícias, políticos e sindicalistas
que perderam as suas óptimas regalias.
que durou desde de Agosto de 1961 até 9 de Novembro de 1989. Foram
28 anos de Ditadura Comunista que molestou e sacrificou milhares de
cidadãos. Alguns deles, hoje, não esquecem a exígua sobrevivência
e a difícil fuga a esta “ditadura de ferro!” Mais de 3.200 pessoas
foram presas por querem abandonar o paraíso do inferno! E consta-se
que mais de 300 pessoas foram abatidas a tiro, quando tentavam
atravessar a fronteira para o Ocidente em busca da liberdade! Pelos
dois relatos abaixo mencionados podemos daí inferir a perseguição
e falta de liberdade deste país dito democrático!
A senhora Sigrid Paul deu à luz um filho quando começaram a erguer o
muro, como o seu Filho Torsten nasceu com graves complicações no
estômago teve que recorrer aos familiares da Alemanha Ocidental a
verdadeira República Democrática para ser tratado devidamente. Como
o amaldiçoado muro foi construído muito rápido naquela rua, já não
pode ir buscar o filho, apesar de ter feito muitas reclamações. Só
passados 5 anos é que pôde recuperar o filho, para este filho os
pais eram completamente estranhos!
Esta senhora tal como milhares de outras pessoas, agora com 75 anos
de idade vivem agarrados ao passado trágico, algumas delas das mais
desinibidas vão contando a sua própria história do regime que as
limitou em tudo e a todos.
A senhora Sigrid Paul é hoje a cicerone no centro de detenção. Ela
e o marido foram presos numa manhã quando iam para o seu trabalho,
meteram-nos num carro e seguiram directos à prisão, ninguém se pôde
interpor a estas acções da STASI (policia politica). Foram presos
por terem dado abrigado três estudantes que desejavam passar a
fronteira.
Outra Senhora chamada Erika disse que foi presa quando tinha 14
anos de idade por ter desenhado por brincadeira um laço no bigode
de Estaline numa Fotografia que viu colada num muro.
A StASI não perdoava a mais pequenina coisa que não estivesse de
acordo com este Duro Regime Político. Esta polícia política e
secreta tinha no seu efectivo 91.000 agentes nas ruas e 173.000
informadores ou bufos, à média de um elemento desta polícia por cada
60 habitantes! Tinha o controlo de tudo e de todos. Ninguém sabia
quem eram os polícias e quem eram os vigiados, muito pior que a
PIDE em Portugal! Os habitantes tinham medo uns dos outros. Por
isso,mantinham-se calados politicamente e trabalhar sem qualquer
poder reivindicativo. Os sindicatos tinham por missão controlar os
trabalhadores em todos os aspectos e para os intimar para irem às
manifestações de apoio ao governo, para depois fazerem
reportagens e fotomontagens ampliadas a fim mostrarem ao mundo
que os habitantes estavam satisfeitos com o regime!
A prisão política foi alcunhada de” Submarino “ em Hohenschonhausen,
pelos presos, era uma prisão debaixo da terra onde os prisioneiros
políticos submergiam sem nunca terem a noção do dia ou da noite,
como o mínimo de luz sem puderem contactar uns com os outros.
A prisão política Portuguesa de Peniche tinha débeis condições de
habitabilidade, mas tinha muito melhores condições que a prisão
Submarino da RDA onde os prisioneiros não tinham luz suficiente
nem livros para lerem.
Se Álvaro Cunhal tivesse sido preso politico do regime que ele
tanto defendeu, nunca se teria licenciado em direito nem talvez
conseguisse resistir tais barbaridades, como sucedeu a muitos dos
presos políticos da RDA (Republica Déspota Agressiva) Este é que
devia ter sido o nome oficial!
Consta-se também que 40% dos habitantes da ex-RDA não ficaram
satisfeitos por terem sido integrados na RFA. porque essa grande
percentagem era constituída pelos polícias, políticos e sindicalistas
que perderam as suas óptimas regalias.
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