quarta-feira, 10 de julho de 2019

Quand humour rime avec la culture


Voici une réplique superbe et cinglante de Robert
 Surcouf, célèbre corsaire Malouin, répondant à un 
amiral britannique qui prétendait ceci :
"Vous les Français vous vous battez pour l'argent,
-nous Anglais, nous nous battons pour l'honneur !"
 Et Robert Surcouf de répondre :*
 "Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas !
Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques
 du  18Ême siècle, John MONTAGU, Comte de
 SANDWICH,
et le réformiste John WILKES. MONTAGU
 dit à WILKES :
« Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur
 l'échafaud ou de la syphilis. » Réplique de Wilkes :
 *« Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes
 ou votre maîtresse. »
Lady Astor apostropha un jour Winston CHURCHILL:
« Monsieur CHURCHILL, vous êtes ivre ! »
Réplique de CHURCHILL :
“Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain,
je serai sobre ! »
Cindy CRAWFORD à Amanda LEAR lors d'un cocktail :
 « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. 
Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »
 *Réplique d'Amanda :*
« Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais
  dites-moi, qui vous l'a lu ? »
*« Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais 
dites-moi, qui vous l'a lu ? »**
Le Prince de CONTI était fort laid. Aussi sa femme le
  trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit
 « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper
pendant mon absence. »
 Réplique de sa femme :
« Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’ai  envie
de vous tromper que lorsque je vous vois»
CHURCHILL fit un jour la remarque suivante à son ami 
George Bernard SHAW (alors très maigre contrairement
 à ce premier de forte corpulence) :
 « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la  
famine règne en Angleterre. »
 Réplique de SHAW :
 « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c’est  vous
qui en êtes la cause. »*
Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison  ancestrale
 de la famille CHURCHILL), Lady ASTOR,
 l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits  des
femmes avec Winston CHURCHILL, qui n'était pas repute
 pour son affection pour le sujet.*
 Au sommet de leur désaccord, Lady ASTOR s'écria :
 « Winston, Si j’étais votre épouse, je mettrais du  poison
dans votre verre ! »*
 Réplique du tac au tac de CHURCHILL:
 « Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le  boirais ! »
PRINTEMPS, son épouse du moment, se promènent dans
un cimetière.
 « Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la  pierre :
 Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha.
 « Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire  :
 Enfin raide.*
« Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire  :
 Enfin raide. Conservatoire national d'art dramatique,
 Louis  JOUVET, professeur, à François PERIER, jeune élève :
- Si MOLIERE voit comment tu interprètes ton Don JUAN,
 il doit se retourner dans sa tombe.
 *Et PERIER de répliquer du même ton :
 - Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.
*Anna TYSKIEWICZ, future comtesse POTOCKA, cachait avec 
soin un strabisme divergent.*
 Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de  l'Histoire,
 connaissait cette infirmité.
 Un jour, elle s'avisa de lui demander :
 - Comment allez-vous, Prince ?
- Comme vous voyez, madame, répondit TALLEYRAND.
« Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à
 l’épouse du Maréchal DE BOUFFLERS après qu’il fut
décédé.
 -« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses 
nuits » répliqua-t-elle.
A la fin d'un dîner organisé par Winston CHURCHILL, le
maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à
cigares aux invités.
 L’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq,
 les met dans sa poche et déclare :*
 "C’est pour la route. »*
 « Merci d’être venu d’aussi loin, lui lance CHURCHILL. »

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