terça-feira, 27 de janeiro de 2009

Un épisode qui est arrivé au Rafael

Un certain jour j’ai eu besoin d’aller à Lisbonne vers 07.30 heures du matin, pour y aller. J’ai pris l’autobus qui passe près chez moi et qui fait l’itinéraire du Centre Sud jusqu’à Cacilhas, tout près trois kilomètres. De distance entre ces deux lieus.
Comme c’est l’habitude à cette heure du matin, il y a toujours beaucoup de gens qui vont
pour la Capitale. Qui prennent le bus, car Almada fonctionne comme une cité-dortoir de Lisbonne.
À cette heure, considérée «heure de pointe», le bus est plein de passagers, mais le conducteur continue à stopper à tous les arrêts pour laisser et entrer encore plus de passagers, tous désirent prendre rapidement l’autobus ,ils veulent arriver au travail le plus vite possible.
L´épisode que je vais vous raconter il est arrivé, quand le bus a stoppé sur une de ses arrêts à
cause de la porte automatique, car le conducteur n’a pas fait bien attention, à la porte qui était en train de fermer, un passager s´est blessé. Comme il est resté très fâché avec ça. Il a réussi s’approcher du conducteur pour le reprocher, en lui disant qu´il ne savait pas ce qu´il était à faire. il lui a dit aussi, qu’il serait mieux de garder un troupeau de moutons, que d´être conducteur de bus.
Le conducteur a riposté en stoppant l’autobus n’importe où pour pouvoir assaillir le passager susdit. Celui-ci à son tour a voulu faire la même chose. Il y avait des personnes qui aimaient voir ce spectacle et des autres qui protestaient à cause du retard au travail que ça provoquait, dans l’autobus régnait une vraie pagaille !
Moi, que je n’avais rien dit, devant telle confusion, j’ai regardé, qu’il n’avait aucune autorité, j´ai voulu mettre fin à cette situation. Je me suis levé de mon siège et j’ai dit avec une voix bien autoritaire.
-Monsieur le conducteur, asseyez-vous s’il vous plaît et continuez à conduire l’autobus.
Le conducteur a fait tout de suite ce que j’avais dit sans dire rien, après du conducteur suivre le voyage j’ai dit au passager frappé.
-Vous ne devriez pas faire ça, s’il y avait un accident vous seriez un coresponsable.
Si vous désirez faire une plainte, il suffit qui vous reteniez le numéro de l’immatriculation de l’autobus.
Personne ne m’avait répondu, tout le monde s’était tu, sauf le conducteur qui a dit : « c’est ça qu’il devait faire » ! Pour appuyer les mots que j’avais dit. Quand l’autobus est arrivé à Cacilhas tous les passagers m’ont regardé bien en pensant que j’étais une vraie autorité, mais je pense qui personne ne m’a reconnu, chacun est suivi son destin sans problèmes.
Cette histoire est totalement vraie et à cause de ça, j’ai fait cette phrase :
Un mot au moment exact peut être d´un grand secours !

Sem comentários:

Enviar um comentário